Date | Source | Critique |
12/11/2017 | Opera Magazine | Manon Lescaut/Geronte Marcel Vanaud donne presque trop de noblesse à Geronte,mais il emporte l’assentiment par sa probité vocale et son aisance scenique. Patrice Henriot http://opera-magazine.com |
01/10/2017 | Forum opera | Marcel Vanaud, basse sonore, campe un Géronte charismatique. Yannick Boussaert https://www.forumopera.com/manon-lescaut… |
28/09/2017 | Opera Online | De son côté, le vétéran belge Marcel Vanaud apporte à Géronte les ressources d’un métier toujours efficace. Emmanuel Andrieu https://www.opera-online.com/fr/columns/… |
26/09/2017 | Arts et Lettres | Manon Lescaut/Geronte Le vieux barbon se délecte à l’idée d’enlever sa proie et de l’installer à Paris dans un cadre princier. Impeccable prestation de Marcel Vanaud. http://artsrtlettres.ning.com/profiles/b… |
24/09/2017 | Crescendo | Manon Lescaut/Geronte Rôle un peu ingrat, le vieux barbon de Géronte a permis de retrouver l’une des plus belles voix belges, Marcel Vanaud, en très grande forme, tant vocale que théâtrale. Bruno Peeters https://www.crescendo-magazine.be/une-pr… |
22/09/2017 | L’Echo | Manon Lescaut/Geronte “Marcel Vanaud sert habilement un Géronte cocufié, mortifié et moralement obligé de sévir.” [L’echo – September 2017] L’Echo |
22/09/2017 | Le soir | Manon Lescaut/Geronte “Et la dignité vindicative du Géronte de Marcel Vanaud Serge Martin |
21/09/2017 | La Libre Belgique | Manon Lescaut/Geronte “…et vraie joie de retrouver un excellent Marcel Vanaud en Géronte.” Nicolas Blanmont |
21/09/2017 | olyrix | Manon Lescaut/Geronte En accord total avec son personnage, Marcel Vanaud accorde sa voix de baryton puissante, ronde et parfois vibrante aux attentes de Puccini Soline Heurtebise http://www.olyrix.com |
12/03/2016 | Arts et Lettres | Les Sept Paroles du Christ” Theodor Dubois Marcel Vanaud, le baryton apparaît, comme le porte-voix du Seigneur Dieu, dans toute sa solidité et sa fragilité à la fois. Impressionnant de présence, de sérénité communicative, il est d’une justesse parfaite dans tous les registres de la compassion, il renvoie en continu une image apaisante de l’amour et de douceur infinie. Ce qu’il chante, c’est le projet et l’avènement d’un autre homme, capable de surmonter la haine. Communiqu? par Deashelle http://artsrtlettres.ning.com/profiles/b… |
05/10/2014 | La lettre du musicien | Les Contes d’Hoffmann Et le très bien chantant Marcel Vanaud en Luther et Crespel. Philippe Carbonnel http://www.lalettredumusicien.fr |
05/10/2014 | Publics de l’opéra de Rouen | Les contes d’Hoffmann J’ai été étonné par la prestation du baryton belge MARCEL VANAUD dans le role du père d’Antonia où il est impressionanr.Le duo entre le Père et le docteur Miracle fut un grand moment ! Sa diction parfaite est un exemple à suivre ! André Junement http://publicsoperarouen.wordpress.com |
26/01/2013 | DIAPASON | Roméo et Juliette Quant à l’expérience, elle paye comptant:Marcel Vanaud (Capulet) a tout du patriarche — voix et présence de chêne massif. Benoît Fauchet http://www.diapasonmag.fr |
13/11/2012 | CONCERTCLASSIC | Le Mage Marcel Vanaud campe un Roi d’Iran plein de noblesse . Alain Cochard http://www.concertclassic.com/ |
11/11/2012 | Forum Opera | Le Mage Marcel Vanaud en roi étonne par la force inaltérée de sa voix, mais toujours extrêmement sonore. Laurent Bury http://www.forumopera.com |
10/11/2012 | Le Progrès | Le Mage …Leurs aînés Jean- François Lapointe et Marcel Vanaud étaient superbes… Martine Goubatian |
09/11/2012 | concerto.net | Le Mage D’une stature wagnérienne, Marcel Vanaud campe un portrait convaincant du roi d’Iran. Gilles Charlassier http://www.concertonet.com |
09/11/2012 | O.B.D | Le Mage Marcel Vanaud est un roi plein de noblesse à la voix toujours bien projetée. Gérard Ferrand http://www.odb-opera.com |
09/11/2012 | OPERA MAGAZINE | Le Mage Marcel Vanaud, en grand professionnel, impose un Roi fort de relief. José Pons |
03/10/2012 | DNEVNIK | RIGOLETTO …Marcel Vanaud a réussi à s’identifier au personnage de Rigoletto, père brisé par la douleur au service des courtisans…Sa voix offre une palette remarquable de couleurs… Jure Dobovi?ek |
02/10/2012 | VECER | RIGOLETTO …Le baryton Marcel Vanaud a parfaitement réussi à recréer le rôle de Rigoletto, l’un des personnages les plus exigeants pour la voix de baryton. Il possède la puissance vocale et le sens dramatique nécessaires à l’interprétation de ce personnage… Jernej Weiss |
12/06/2012 | FORUM OPERA | LA TRAVIATA Et l’on apprécie le chant du baryton belge Marcel Vanaud (Giorgio Germont).la ligne de chant est celle d’un interprète qui connaît son Verdi sur le bout des doigts. Il sera chaleureusement applaudi en cours de représentation comme au moment des saluts. Brigitte Cormier |
15/05/2012 | O.D.B | LA TRAVIATA Avec Marcel Vanaud, c’est un Giorgio Germont d’anthologie auquel nous avons droit, livrant une leçon de chant bouleversante dans ses deux airs de l’acte 2, d’un tact, d’une noblesse et d’une prestance rare,père protecteur plein de delicatesse. Ovation méritée amplement E. GIBERT |
15/03/2011 | concerts- classiques |
La partie vocale était assurée, avec beaucoup de professionnalisme,
par le beau baryton Marcel VANAUD qui a agréablement surpris les
connaisseurs inconditionnels des grands rôles du répertoire classique
ou romantique. Il a fait découvrir à beaucoup l’ « Air de RALPH»,
extrait de « La jolie fille de PERTH », opéra méconnu ou boudé en raison
peut être d’un librettiste peu doué, en dépit du talent d’un BIZET. En
revanche, il a fort bien mis en espace le fameux air de DAPERTUTTO «
Scintille, diamant» de l’acte vénitien des « CONTES D’HOFFMANN ». Il a
su émouvoir bien des cœurs sensibles avec l’air du Père GERMONT de la «
TRAVIATA », de VERDI et il a ravi les admirateurs et –trices de l’air
du FIGARO factotum de ROSSINI. Il a même su rendre consommable le
rabâché air du TORÉADOR de « CARMEN », que nombre de barytons
massacrent allègrement sur toutes les scènes populaires.
Ou retiendra donc de ce florilège pour baryton la très belle
prestance et la rigueur vocale de Marcel VANAUD: beau timbre bien placé,
tessiture ample et toujours assurée, ligne mélodique contrôlée,
prononciation impeccable. Un homme solide, une présence expressive qui
doit faire merveille in situ.
P.J |
19/12/2009 | La Libre Belgique | Hélène aux Enfers Marcel Vanaud, qu’on retrouve avec plaisir en Achille après une si longue absence de la Monnaie Nicolas Blamont http://www.lalibre.be |
08/11/2009 | Le Progrès | Manon “…saluons d’une mention particulière Marcel Vanaud (comte des Grieux) à la voix superbe, sombre et presque inquiétante, qui donne à son personnage une réelle profondeur” Jean-Luc Perrot |
06/10/2009 | CRESCENDO | Manon Comte des Grieux sonore et poignant de Marcel Vanaud. Bruno Peeters |
08/09/2009 | Concert Classic | Manon Massenet Le Comte Des Grieux, de l’inusable Marcel Vanaud. Jacques Doucelin http://www.concertclassic.com/ |
10/03/2009 | L’union | Manon Le timbre onctueux et noble de Marcel Vanaud fait merveille dans les deux savoureux airs du comte Francis Albou http://www.lunion.presse.fr |
01/03/2009 | ConcertClassic.com | le château des Carpathes Marcel Vanaud, qui avait créé en 1992 le rôle du Baron, hôte du château et ravisseur de la voix et de l’image de Stilla, a toute la véhémence, la folie même de son personnage – qui culmine dans le trio final, face à la fougue désespérée de Franz et où se fond la beauté irréelle du chant de la cantatrice défunte. Même les notes que le baryton doit pousser quelque peu pour surmonter le tumulte de l’orchestre participent à la construction du rôle Jean-Guillaume Lebrun |
27/01/2009 | Opera Magazine N° 38 | Les Contes d’ Hoffmann une mention pour Marcel Vanaud,absolument idéal en Luther et Crespel Richard Martet |
21/01/2009 | Scene magazine | Les Contes d’Hoffman Marcel Vanaud (Luther,Crespel) serai t< le monsieur plus > de l’acte d’Antonia, avec sa voix volumineuse, et bien timbrée François Jestin http://scenemagazine.com |
18/01/2009 | Forum Opera | Les Contes d’ Hoffmann Prestation de Marcel Vanaud dans le rôle du père d’Antonia. Le baryton, disposant toujours de moyens telluriques impressionnants, hisse son personnage au rang de premier plan tant par la justesse vocale que par une incroyable et bouleversante caractérisation humaine. Vanaud participe grandement à l’émotion de l’acte, le plus abouti des trois. Philippe Ponthir |
30/11/2008 | Sunday Business Post | Madama Butterfly Sharpless, the US consul who foresaw the dangers of the mixed marriage, was sensitively sung by Belgian baritone Marcel Vanaud, a long-time OI favourite. Dick O?Riordan http://www.thepost.ie/post/pages/ |
28/11/2008 | Irich Independant | Madama Butterfly while robustly experienced Belgian baritone Marcel Vanaud is US consul Sharpless. Pat O’Kelly |
03/10/2008 | ConcertClassic.com | La Traviata Excellent Germont de Marcel Vanaud. La voix bien timbrée avec une belle projection remplit la salle ; ses premières interventions avec Violetta font l’effet d’un coup de tonnerre. Adroit, le comédien sait plier son immense voix pour lui donner des couleurs automnales et l’emplir de compassion envers celle à qui il demandera le sacrifice qui la brisera à jamais. Sa cabalette à la fin du premier tableau du deuxième acte offre un bel exemple de chant verdien Bernard Niedda |
28/09/2008 | Music Web International | Falstaff and some adorable singing. Marcel Vanaud’s Falstaff has the right balance of character strength and humour to focus attention in this leading part. With his rich, resonant bass voice he immerses himself completely in the role. Raymond Walker http://www.musicweb-international.com/cl… |
14/06/2008 | La Tribune – Le Progrès | Samson et Dalila “… Marcel Vanaud – qui a été il y a quelques années un magnifique Scarpia (Tosca) – excellent en Grand-Père de Dagon, est impressionant d’autorité, de fiel. Décidément, les rôles de “méchants” lui vont comme un gant : son grand air “Maudite à jamais soit la race” était déclamé avec un tel sentiment de haine et de vengeance, d’une voix puissante et superbe…” |
01/12/2007 | opera reviews | Ariane et Barbe Bleue Marcel Vanaud was Barbe Bleue, who, in spite of only singing a couple of lines in the first act, managed to sound quite impressive. Silvia Luraghi |
09/10/2007 | Opéra-Théâtre de Metz | Le Villi “Marcel Vanaud ressuscite les grandes vois légendaires – Borthayre, Bianco et plus près de nous, Ernest Blanc. Voix incisive, aigus tranchants, ligne de chante et diction parfaites : sa malédiction au second tableau vous cloue sur place.” Bernard Niedda http://www.concertclassic.com |
03/06/2007 | Die Post | Don Pasquale Vanaud seems bullet-proof as far as Opera Ireland patrons are concerned. The Belgian baritone has, justifiably, built a huge fan base here based on quality singing and convincing acting. His skilful performance was no surprise – it was guaranteed. Rating http://archives.tcm.ie/businesspost/2007… |
26/11/2005 | Le Soir | Luisa Miller “… Le Miller de Marcel Vanaud dont le timbre éclairci et vaillant sert à merveille la bonté de son personnage de père.” Serge Martin |
21/11/2005 | La Libre Belgique | Luisa Miller “… épaissir son rôle, une tâche dans laquelle excelle Marcel Vanaud, un Miller très mûr vocalement et très expressif humainement.” Nicolas Blanmont |
18/10/2005 | Forum Opera | Pelléas et Mélisande Avec ses emportements à la vaillance superbe, le Golaud de Marcel Vanaud promène dans cette histoire de malentendu et de meurtre (la scène où il fourbit son épée face à Yniold donne le frisson) les cernes et les stigmates d’un jaloux pathétique. La voix du baryton belge est à son zénith dans ce rôle complexe. Murmurant autant que solennel, confident et confesseur. Christian Colombeau http://www.forumopera.com |
12/10/2005 | Opéra de Nice | Pelléas et Mélisande “Marcel Vanaud campe un Golaud très charismatique et inquiétant. En sage prudent, il contrôle la voix sur les premières scènes, la libérant plus tard. D’où qu’il chante, il n’y a aucune déperdition de puissance : la voix est donc plus grande qu’elle veut bien se montrer. En même temps, le baryton use lorsqu’il faut d’un timbre infiniment doux.” |
01/07/2005 | La Libre Belgique |
Le
baryton bien-aimé du public liégeois ne cesse d’endosser à l’ORW des
rôles clés dans les opéras de Verdi. Récemment, il a joué dans «La
Traviata», «La Forza del Destino» et « Simon Boccanegra»: « C’est
vrai que je joue beaucoup de Verdi mais aussi, de manière plus large,
beaucoup de rôles de l’opéra italien. Cela dit, je viens d’interpréter
tout récemment à Nice Golaud dans «Pelléas et Mélisande» de Debussy…
un tout autre univers, plus difficile à appréhender car on a moins
l’habitude de ce langage musical.»
Entre
Marcel Vanaud et l’ORW, c’est une longue histoire d’amour et d’amitié
et le baryton avoue retrouver Liège avec un immense plaisir: «Ça
fait 30 ans que je viens à Liège et j’espère ne pas lasser le public.
J’ai commencé en 1975 dans la troupe. Je me sens ici comme en famille.
J’ai été bouleversé par le décès de Raymond Rossius qui a été une sorte
de père pour moi. Je tiens à lui rendre hommage; il me manquera beaucoup
le soir de la première de «Luisa Miller».»
© La Libre Belgique 2005
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21/06/2004 | La Libre Belgique | «Simon Boccanegra» Le Boccanegra sensible et convaincant de Vanaud MARTINE D. MERGEAY Publié le lundi 21 juin 2004 à 00h00 – Mis à jour le lundi 21 juin 2004 à 00h00 Dans le rôle titre, Marcel Vanaud campe un personnage paradoxal, à la fois bouillonnant d’énergie et écrasé par son destin. Timbre rare, grande maîtrise vocale et sens dramatique éprouvé sont ici au service d’un Boccanegra sensible et convaincant. MARTINE D. MERGEAY http://www.lalibre.be/archive/le-boccane… |
27/01/2004 | FORUM OPERA | STIFFELIO Marcel Vanaud sang Stankar. For me, he was the star of the night. At the beginning of the third act he has this extremely beautiful aria (“Ei fugge… Lina, pensai che un angelo”) in which he wants to commit suicide after the dishonor done to him; followed with a cabaletta (“Oh gioia inesprimibile”) when he discovers that Lina’s lover has been found and that he can revenge himself in less self-destructing way… Now, how comes that nobody has recorded it ? It’s much more interesting than other baritone arias (like “Provenza” for instance). Vanaud gave a very moving interpretation of the aria, getting a very much deserved (long) applause for it. The cabaletta is something strange: in the first (gioia) part Vanaud went down in volume as if he were fainting, only to burst out in a lively “Vendetta”… |
27/01/2004 | Le Soir | Quelles que soient les qualités indéniables des principaux protagonistes, le triomphateur de la soirée restera toutefois Marcel Vanaud. Son timbre franc et chaud de baryton Verdi sert avec prestance le personnage fier et tendre de Stankar, un de ces rôles de père dont Verdi a décidément le secret. Sa scène du 3e acte «Ei fugge!…» demeure à coup sûr le moment le plus fort d’une soirée pourtant particulièrement dense. Serge MARTIN |